Avec plus de 100 chercheurs, fournisseurs de soins de santé, stagiaires, intervenants communautaires et politiques, et membres partenaires des patients et des familles, le Collectif de recherche pancanadien en soins palliatifs est un réseau de groupes de recherche axés sur la pratique visant à produire une recherche de haute qualité sur les soins palliatifs.
Nos membres sont passionnés par la recherche et souhaitent participer activement à un réseau de recherche sur les soins palliatifs. Ils sont issus de nombreuses disciplines et comprennent des patients, des soignants, des stagiaires, des décideurs, des cliniciens et des chercheurs.
Jessica Simon est professeure au département d'oncologie et chef de la division de médecine palliative à l'université de Calgary. Elle est également médecin en soins palliatifs pour les services de santé de l'Alberta.
Les travaux du Dre Simon portent sur la recherche en matière de services de santé, avec une passion pour la planification préalable des soins. Ses programmes de recherche actuels portent notamment sur le rôle de la technologie virtuelle dans les soins à domicile et sur une meilleure intégration des soins palliatifs plus tôt dans l'évolution d'une maladie grave. La Dre Simon est également occupée à explorer une nouvelle direction, en collaborant avec des collègues autochtones sur l'amélioration de l'allié entre les autochtones et les non-autochtones qui s'occupent de patients autochtones gravement malades.
Depuis sa création, la Dre Simon a été un membre dévoué du CRPCSP, encourageant les chercheurs en soins palliatifs, les partenaires et les autres parties prenantes à se réunir, "sachant que la somme est toujours plus grande que les parties".
La communauté du CRPCSP est, pour elle, différente des autres branches de la recherche. Au lieu de la compétitivité, elle observe "un réel sens de l'entraide pour faire le meilleur travail possible pour les personnes atteintes de maladies graves et pour améliorer les soins palliatifs". En travaillant ensemble, elle constate que les membres sont en mesure de présenter des demandes de subvention plus compétitives, de créer plus facilement des études multicentriques et d'étendre la portée d'une étude.
"Cela m'incite à prendre de nouvelles directions", dit-elle, "et à continuer à travailler dans des domaines qui peuvent être difficiles".
